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Le capitalisme contre le droit Ă la ville / David W. Harvey
Titre : Le capitalisme contre le droit Ă la ville : nĂ©olibĂ©ralisme, urbanisation, rĂ©sistances Type de document : texte imprimĂ© Auteurs : David W. Harvey (1935-....), Auteur ; Cyril Le Roy, Traducteur Editeur : Paris : Amsterdam AnnĂ©e de publication : 2011 Importance : 93 p. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-095-6 Note gĂ©nĂ©rale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Langues originales : AmĂ©ricain (ame) Tags : GĂ©ographie Anthropologie Urbanisme Lutte Dimension sociale Relations humaines Villes Lutte de classes Capitalisme NĂ©olibĂ©ralisme RĂ©sistance politique Index. dĂ©cimale : 307.76 Communautés -- Urbaines (types de communautés) RĂ©sumĂ© : Que peut bien vouloir dire « droit Ă la ville » ? Cette interrogation est indissociable d’une multitude d’autres questions. Quelle ville voulons-nous ? Quel genre de personnes voulons-nous ĂŞtre ? Ă€ quelles relations sociales aspirons-nous ? Quelle vie quotidienne trouvons-nous dĂ©sirable ? Quelles valeurs esthĂ©tiques dĂ©fendons-nous ? Quel rapport Ă la nature souhaitons-nous promouvoir ? Quelles technologies jugeons-nous appropriĂ©es ? Le droit Ă la ville ne se rĂ©duit ainsi pas Ă un droit d’accès individuel aux ressources incarnĂ©es par la ville : c’est un droit Ă nous changer nous-mĂŞmes en changeant la ville de façon Ă la rendre plus conforme Ă nos dĂ©sirs les plus fondamentaux. C’est aussi un droit plus collectif qu’individuel, puisque, pour changer la ville, il faut nĂ©cessairement exercer un pouvoir collectif sur les processus d’urbanisation. Il importe dans cette perspective de dĂ©crire et d’analyser la manière dont, au cours de l’histoire, nous avons Ă©tĂ© façonnĂ©s et refaçonnĂ©s par un processus d’urbanisation toujours plus effrĂ©nĂ© et Ă©tendu, animĂ© par de puissantes forces sociales et ponctuĂ© de violentes phases de restructurations urbaines par « destruction crĂ©ative », ainsi que par les rĂ©sistances et les rĂ©voltes que ces restructurations suscitaient. On saisira alors toute l’actualitĂ© de la thèse d’Henri Lefebvre : le processus urbain Ă©tant essentiel Ă la survie du capitalisme, le droit Ă la ville, autrement dit le contrĂ´le collectif de l’emploi des surplus dans les processus d’urbanisation, doit devenir l’un des principaux points de focalisation des luttes politiques et de la lutte des classes. Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00517 DOC 307.76 HAR C Livre Documentaires Disponible La fabrique de l'homme endetté / Maurizio Lazzarato
Titre : La fabrique de l'homme endettĂ© : essai sur la condition nĂ©olibĂ©rale Type de document : texte imprimĂ© Auteurs : Maurizio Lazzarato, Auteur Editeur : Paris : Amsterdam AnnĂ©e de publication : impr. 2011 Importance : 123 p. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-096-3 Langues : Français (fre) Tags : Économie Endettement Dette publique ContrĂ´le social Capitalisme NĂ©olibĂ©ralisme Politique Ă©conomique Index. dĂ©cimale : 336.3 Économie - Finances publiques. Emprunts, dette publique RĂ©sumĂ© : La dette, tant privĂ©e que publique, semble aujourd’hui une prĂ©occupation majeure des « responsables » Ă©conomiques et politiques. Dans La Fabrique de l’homme endettĂ©, Maurizio Lazzarato montre cependant que, loin d’être une menace pour l’économie capitaliste, elle se situe au cĹ“ur mĂŞme du projet nĂ©olibĂ©ral. Ă€ travers la lecture d’un texte mĂ©connu de Marx, mais aussi Ă travers la relecture d’écrits de Nietzsche, Deleuze, Guattari ou encore Foucault, l’auteur dĂ©montre que la dette, loin de n’être qu’une rĂ©alitĂ© Ă©conomique, est avant tout une construction politique, et que la relation crĂ©ancier/dĂ©biteur est le rapport social fondamental de nos sociĂ©tĂ©s. La dette n’est pas d’abord un dispositif Ă©conomique, mais une technique sĂ©curitaire de gouvernement et de contrĂ´le des subjectivitĂ©s individuelles et collectives, visant Ă rĂ©duire l’incertitude du temps et des comportements des gouvernĂ©s. Selon la logique « folle » du nĂ©olibĂ©ralisme – qui prĂ©tend substituer le crĂ©dit aux salaires et aux droits sociaux, avec les effets dĂ©sastreux que la crise des subprimes a illustrĂ©s de façon dramatique –, nous devenons toujours davantage les dĂ©biteurs de l’État, des assurances privĂ©es et, plus gĂ©nĂ©ralement, des entreprises, et nous sommes incitĂ©s et contraints, pour honorer nos engagements, Ă devenir les « entrepreneurs » de nos vies, de notre « capital humain » ; c’est ainsi tout notre horizon matĂ©riel, mental et affectif qui se trouve reconfigurĂ© et bouleversĂ©. Comment sortir de cette situation impossible ? Comment Ă©chapper Ă la condition nĂ©olibĂ©rale de l’homme endettĂ© ? Si l’on suit Maurizio Lazzarato dans ses analyses, selon lesquelles la dette est avant tout un instrument de contrĂ´le politique et l’expression de rapports de pouvoir, force est de reconnaĂ®tre qu’il n’y pas d’issues simplement techniques, Ă©conomiques ou financières. Il nous faut remettre en question radicalement le rapport social fondamental qui structure le capitalisme : le système de la dette. Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00558 DOC 336.3 LAZ F Livre Documentaires Disponible Le futur du travail / Juan Sebastian Carbonell
Titre : Le futur du travail Type de document : texte imprimĂ© Auteurs : Juan Sebastian Carbonell (1988-....), Auteur Editeur : Paris : Amsterdam AnnĂ©e de publication : 2022 Importance : 173 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-243-1 Langues : Français (fre) Tags : Sociologie Travail Conditions de travail Travail prĂ©caire Organisation du travail Capitalisme Émancipation Politique Ă©conomique Mondialisation Digitalisation Index. dĂ©cimale : 306.36 Comportements économiques. Sociologie économique - Systèmes d'organisation du travail. Sociologie du travail RĂ©sumĂ© : Le travail est un inĂ©puisable objet de fantasmes. On annonce sa disparition prochaine sous l’effet d’un « grand remplacement technologique », on prophĂ©tise la fin imminente du salariat, on rĂŞve d’une existence dĂ©finitivement dĂ©barrassĂ©e de cette servitude. Fait significatif, les futurologues consacrĂ©s et les apologistes du monde tel qu’il va n’ont absolument pas le monopole de ce discours, tout aussi bien tenu par les plus fĂ©roces critiques du capitalisme. Ă€ chaque rĂ©volution technologique ses mirages. Car il y a loin, très loin, de ces anticipations Ă la rĂ©alitĂ©. Le travail humain conserve en effet une place centrale dans nos sociĂ©tĂ©s. Simplement, ses frontières et le pĂ©rimètre des populations qu’il concerne se dĂ©placent : ce n’est donc pas Ă une prĂ©carisation gĂ©nĂ©ralisĂ©e que l’on assiste, mais Ă l’émergence d’un nouveau prolĂ©tariat du numĂ©rique et de la logistique, dans des Ă©conomies bouleversĂ©es par l’essor des gĂ©ants de la Big tech.
Dans cet essai incisif, Juan Sebastián Carbonell montre que le discours sur la « crise du travail » fait obstacle à la compréhension de ses enjeux politiques. Et que sa mise en avant empêche, parfois à dessein, la nécessaire ouverture d’un débat sur les voies de son émancipation.Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00761 DOC 306.36 CAR F Livre Documentaires Disponible
Titre : La part commune : critique de la propriĂ©tĂ© privĂ©e Type de document : texte imprimĂ© Auteurs : Pierre CrĂ©tois, Auteur Editeur : Paris : Amsterdam AnnĂ©e de publication : 2020 Importance : 207 p. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-213-4 Langues : Français (fre) Tags : Philosophie Capitalisme Économie PropriĂ©tĂ© privĂ©e Index. dĂ©cimale : 330.122 Economie - Systèmes, écoles et théories. Economie libérale. Capitalisme RĂ©sumĂ© : L’accaparement privatif des richesses portĂ© par le libĂ©ralisme Ă©conomique a creusĂ© les inĂ©galitĂ©s et contribuĂ© Ă la crise environnementale. Cet ouvrage reprend le problème Ă la racine pour proposer une dĂ©construction de l’absolutisme propriĂ©taire. Pierre CrĂ©tois retrace et critique toute la tradition qui, depuis la Renaissance, a fait de la propriĂ©tĂ© privĂ©e l’élĂ©ment fondateur de nos sociĂ©tĂ©s en l’érigeant comme le droit naturel le plus crucial. Cette vision est si hĂ©gĂ©monique qu’elle semble relever de l’évidence. Mais elle mĂ©connaĂ®t le fait qu’il n’a jamais existĂ© de propriĂ©tĂ© absolument privĂ©e. Les choses, loin d’être appropriables en tant que telles, sont des lieux oĂą se rencontrent des existences et des activitĂ©s individuelles et collectives. Le propriĂ©taire en son domaine n’est qu’un membre de la communautĂ© et de l’écosystème dont il dĂ©pend.
Dans un geste démystificateur, Pierre Crétois montre qu’il y a toujours une part commune dans ce qui est propre à chacun. Au cœur de la politique se niche la propriété : mieux, sa transformation est la condition de l’émancipation humaine.En ligne : https://www.lemagducine.fr/a-lire/actu-livres/la-part-commune-critique-livre-100 [...] Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00510 DOC 330.122 CRE P Livre Documentaires Disponible Le pouvoir des mots / Judith Butler
Titre : Le pouvoir des mots : discours de haine et politique du performatif Type de document : texte imprimé Auteurs : Judith Butler (1956-...), Auteur ; Charlotte Nordmann, Traducteur Editeur : Paris : Amsterdam Année de publication : 2017 Importance : 241 p. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-165-6 Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Tags : Philosophie Mots Sexisme Racisme Homophobie Minorités Lutte Dimension politique Liberté d'expression Sciences humaines et sociales Index. décimale : 306.44 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels - Pratiques culturelles. Sociolinguistique, ethnolinguistique.
Résumé : Dans Le Pouvoir des mots, Judith Butler analyse les discussions, souvent passionnées, sur la pornographie et la violence verbale dirigée contre les minorités. Elle montre qu'il est dangereux de confier à l'État le soin de définir le champ du dicible et de l'indicible, et souligne l'ambivalence du hate speech, des discours de haine homophobes, sexistes ou racistes : s'ils peuvent briser les personnes auxquelles ils sont adressés, ils peuvent aussi être retournés et ouvrir l'espace nécessaire d'une lutte politique et d'une subversion des identités.
En esquissant une défense pragmatique du principe de la liberté d'expression, préoccupée par le souci d'augmenter la puissance d'agir des dominé.e.s et des subalternes, Judith Butler nous propose de puissants instruments pour repenser les questions soulevées par les débats sur la pénalisation des discours de haine.Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00219 DOC 306.44 BUT P Livre Documentaires Disponible Et tant pis pour les gens fatigués / Jacques Rancière
PermalinkVie précaire / Judith Butler
PermalinkLa ville vue d'en bas / Collectif Rosa Bonheur
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