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'Bien-être'
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Titre : |
Politiser le bien-ĂŞtre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Camille Teste, Auteur |
Editeur : |
Paris : Binge audio éditions |
Année de publication : |
2023 |
Collection : |
Sur la table |
Importance : |
159 p. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-491-26015-6 |
Note générale : |
Bibliogr. et webliogr. p. 152-155 |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Sociologie Bien-être Discrimination Dimension politique Militantisme Néolibéralisme Théorie du care Émancipation Santé physique Santé mentale Féminisme Contrôle social Dimension environnementale |
Index. décimale : |
306.4 Sociologie des pratiques culturelles (animation et politique culturelle, apparence physique, aspects culturels particuliers, chasse aux sorcières, culture populaire, habitudes alimentaires, magie, symboles) |
Résumé : |
Avec un chiffre d'affaire de 4400 milliards de dollars annuels, le secteur du bien-être touche depuis 20 ans un public de plus en plus large, obsédé par le self-care, la culture New Age ou la quête de la meilleure version de soi-même.
Or que constate-t-on, dès qu'on enquête sur ce secteur hyper puissant ? Que sous couvert de développement individuel, il sert activement des logiques néo-libérales, voire qu'il peut constituer une porte d'entrée efficace pour des idéologies réactionnaires ou complotistes. Autant de raisons qui font que la plupart des projets politiques progressistes ne considèrent jamais le bien-être comme un outil légitime. Mais ce refus en bloc du bien-être n'est-il pas symptomatique d'une culture qui n'accorde pas au care la place qu'elle devrait ? N'aurait-on pas tout à gagner à replacer la question du corps, des affects, de la douceur et de la spiritualité au coeur des projets politiques progressistes ?
C'est ce que Camille Teste s'attache à démontrer dans son essai : à condition de les subvertir pour les aligner avec un projet véritablement révolutionnaire, les pratiques de bien-être peuvent être émancipatrices. |
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Exemplaires(1)
DFX00817
|
DOC 306.4 TES P |
Livre |
Documentaires
|
Disponible |

Titre : |
Pour vivre heureux, vivons égaux ! : comment l'égalité réduit le stress, préserve la santé mentale et améliore le bien-être de tous |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Kate Pickett (1965-..), Auteur ; Richard Gerald Wilkinson (1943-..), Auteur ; Élise Roy, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Les Liens qui Libèrent |
Année de publication : |
2019 |
Collection : |
Poche |
Importance : |
414 p. |
Présentation : |
ill. en noir et blanc (BD, graph, tabl.) |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
979-10-209-0837-7 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Tags : |
Inégalités sociales de santé Bien-être Santé publique Inégalités sociales Dimension psychologique Décroissance Hiérarchisme Royaume-Uni |
Index. décimale : |
613.5 Santé et sécurité personnelles - Rôle de l'environnement non naturel (Logement, etc.) |
Résumé : |
Pourquoi nos sociétés développées engendrent-elles autant de mal-être ? Mal-être personnel, mais aussi collectif. Et si l’augmentation des richesses n’était pas le gage d’une prospérité sociale et individuelle ? Kate Pickett et Richard Wilkinson, spécialistes mondialement reconnus, proposent une thèse révolutionnaire sur les rapports entre inégalité et bien-être.
Les auteurs présentent des preuves accablantes indiquant que les inégalités matérielles ont des effets psychologiques puissants : quand l’écart entre les riches et les pauvres s’accroît, nous avons bien plus tendance à nous définir et à nous évaluer en termes de supériorité et d’infériorité. En analysant à la fois l’épidémie d’anxiété actuelle, les comportements de classe, les stéréotypes sociaux, les rapports de domination ou encore les logiques consuméristes, ils élaborent une thèse d’une rare pertinence.
Ils démontrent ainsi qu’un faible statut social entraîne des niveaux plus élevés de stress. Ou bien que les taux d’anxiété et de dépression sont étroitement liés aux inégalités. Ils contestent surtout ardemment la croyance selon laquelle les humains sont naturellement compétitifs et égoïstes, de même que celle qui voit dans les inégalités le résultat de différences «naturelles» en termes de capacités individuelles.
Ils proposent enfin de nombreuses pistes pour construire ensemble les fondations d’un monde plus égalitaire… et donc plus heureux. |
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Exemplaires(1)
DFX00505
|
DOC 613.5 PIC P |
Livre |
Documentaires
|
Disponible |

Titre : |
Le syndrome du bien-ĂŞtre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Carl Cederström (1980-....), Auteur ; André Spicer, Auteur |
Editeur : |
Paris : L'Échappée |
Année de publication : |
2016 |
Collection : |
Pour en finir avec |
Importance : |
165 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-37309-006-2 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Tags : |
Modes de vie Dimension sociale Santé physique Politique publique Bien-être |
Index. décimale : |
306.4 Sociologie des pratiques culturelles (animation et politique culturelle, apparence physique, aspects culturels particuliers, chasse aux sorcières, culture populaire, habitudes alimentaires, magie, symboles) |
Résumé : |
Vous êtes accro à la salle de sport ? Vous ne comptez plus les moutons mais vos calories pour vous endormir ? Vous vous sentez coupable de ne pas être suffisamment heureux, et ce malgré tous vos efforts ? Alors vous souffrez sûrement du syndrome du bien-être. Tel est le diagnostic établi par Carl Cederström et André Spicer. Ils montrent dans ce livre comment la recherche du bien-être optimal, loin de produire les effets bénéfiques vantés tous azimuts, provoque un sentiment de mal-être et participe du repli sur soi. Ils analysent de multiples cas symptomatiques, comme ceux des fanatiques de la santé en quête du régime alimentaire idéal, des employés qui débutent leur journée par un footing ou par une séance de fitness, des adeptes du quantified self qui mesurent - gadgets et applications à l'appui - chacun de leurs faits et gestes, y compris les plus intimes... Dans ce monde inquiétant, la bonne santé devient un impératif moral, le désir de transformation de soi remplace la volonté de changement social, la culpabilisation des récalcitrants est un des grands axes des politiques publiques, et la pensée positive empêche tout véritable discours critique d'exister. Résolument à contre-courant, ce livre démonte avec une grande lucidité les fondements du culte du corps et de cette quête désespérée du bien-être et de la santé parfaite. |
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Exemplaires(1)
DFX00093
|
DOC 306.4 CED S |
Livre |
Documentaires
|
Disponible |

Titre : |
Femmes en errance : de la survie au mieux-ĂŞtre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Claire Vanneuville, Auteur |
Editeur : |
Lyon : Chronique sociale |
Année de publication : |
2005 |
Autre Editeur : |
Grenoble : Association Femmes SDF |
Collection : |
Comprendre les personnes |
Importance : |
118 p. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
9782850085588 |
Note générale : |
La couv. titre : Femmes en errance, De la survie à l'existence.
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Immenses Femmes Sans-chez-soi Conditions de vie Bien-ĂŞtre Protection, assistance, etc. Vagabonds Citations |
Index. décimale : |
305.569 Groupes sociaux selon leur niveau socio-économique - Pauvres |
Résumé : |
Qu'est-ce que l'errance féminine ? Peut-on, sans abus, parler d'une errance féminine spécifique ? Que faire avec ces personnes ?
Avant de chercher des réponses, prenons le temps de comprendre, d'écouter.
La rue, la route, peuvent constituer - pour une femme comme pour un homme - l'occasion d'un passage salutaire pour exorciser une souffrance, pour mieux la supporter, pour même s'en débarrasser, s'en dépouiller. Mais à partir d'un certain seuil de souffrance ou de traumatisme, ce que l'on pourrait appeler "voyage" ou "fugue" se prolonge et devient errance.
La souffrance que ces femmes portent en elles et les conditions dans lesquelles elles essaient de vivre au quotidien exacerbent les comportements, amplifient les difficultés, et les entraînent dans le tragique de l'existence.
Cet ouvrage pose le problème des femmes seules en errance - problème souvent occulté. Il restitue la parole de ces femmes. Il procure des clés de compréhension et des propositions adaptées pour assurer un renforcement et/ou la création de dispositifs d'appuis intégrant les spécificités à prendre en compte. |
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Exemplaires(1)
DFX00580
|
DOC 305.569 VAN F |
Livre |
Documentaires
|
Disponible |

Titre : |
Philosophie de la maison : l'espace domestique et le bonheur |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Emanuele Coccia (1976-....), Auteur ; Léo Texier, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Payot & Rivages |
Année de publication : |
2021 |
Collection : |
Bibliothèque Rivages |
Importance : |
204 p. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7436-5442-9 |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
Tags : |
Habitat Logement Dimension psychologique Bien-être Espace personnel Intimité (psychologie) Espace public Villes |
Index. décimale : |
643 Économie domestique, vie familiale - Le logement et son équipement |
Résumé : |
Les philosophes ont négligé les maisons. Vie domestique, intimité du chez-soi ne furent jamais leur grande affaire. Les relations sensibles que l’on construit jour après jour envers ce lieu central – où l’on cuisine et mange, où l’on aime et dort, où l’on se lave et rêve… entre autres – n’ont pas spécifiquement retenu l’attention des grands penseurs occidentaux. Ils ont privilégié l’espace public et la ville, scruté les assemblées, les places du politique. Ou bien ce furent les musées et les théâtres qui retinrent leurs analyses – toujours des lieux urbains, socialisés, partageables par tous. La philosophie serait-elle affaire de villes, et non de maisons ?
C’est ce que suppose le philosophe Emanuele Coccia au seuil de son nouveau livre, Philosophie de la maison, destiné évidemment à corriger cette amnésie. « La modernité philosophique a tout misé sur la cité », écrit-il, avant de souligner combien « nous avons besoin de penser la maison ». Il s’y emploie donc. Et d’abord avec bonheur, au fil d’analyses originales et singulièrement fines, centrées sur nos manières d’apprivoiser ces pièces où d’autres vécurent avant nous, examinant les tactiques infimes déployées pour que murs, couloirs, lumières commencent à nous ressembler. |
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Exemplaires(1)
DFX00532
|
DOC 643 COC P |
Livre |
Documentaires
|
Disponible |

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