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306.36
: Comportements économiques. Sociologie économique - Systèmes d'organisation du travail. Sociologie du travail
306 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels. Culture populaire, anthropologie sociale et culturelle 306.0 306.2 306.3 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels - Comportements économiques. Sociologie économique 306.4 Sociologie des pratiques culturelles (animation et politique culturelle, apparence physique, aspects culturels particuliers, chasse aux sorcières, culture populaire, habitudes alimentaires, magie, symboles) 306.42 Pratiques culturelles : sociologie de la connaissance, de la vie intellectuelle, de l'information 306.44 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels - Pratiques culturelles. Sociolinguistique, ethnolinguistique.
306.7 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels - Relations entre sexes. Pratiques sexuelles 306.76 Sociologie sexuelle -- Orientation sexuelle 306.768 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels - Transsexualité et intersexualité 306.874 Sciences sociales - Culture. Institutions sociales. Comportements culturels. Parents/enfants 306.9 Culture. Institutions sociales. Comportements culturels - Comportements relatifs à la mort
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Ouvrages de la bibliothèque en indexation 306.36 (3)
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Titre : |
Le futur du travail |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Juan Sebastian Carbonell (1988-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Amsterdam |
Année de publication : |
2022 |
Importance : |
173 p. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35480-243-1 |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Sociologie Travail Conditions de travail Travail précaire Organisation du travail Capitalisme Émancipation Politique économique Mondialisation Digitalisation |
Index. décimale : |
306.36 Comportements économiques. Sociologie économique - Systèmes d'organisation du travail. Sociologie du travail |
Résumé : |
Le travail est un inépuisable objet de fantasmes. On annonce sa disparition prochaine sous l’effet d’un « grand remplacement technologique », on prophétise la fin imminente du salariat, on rêve d’une existence définitivement débarrassée de cette servitude. Fait significatif, les futurologues consacrés et les apologistes du monde tel qu’il va n’ont absolument pas le monopole de ce discours, tout aussi bien tenu par les plus féroces critiques du capitalisme. À chaque révolution technologique ses mirages. Car il y a loin, très loin, de ces anticipations à la réalité. Le travail humain conserve en effet une place centrale dans nos sociétés. Simplement, ses frontières et le périmètre des populations qu’il concerne se déplacent : ce n’est donc pas à une précarisation généralisée que l’on assiste, mais à l’émergence d’un nouveau prolétariat du numérique et de la logistique, dans des économies bouleversées par l’essor des géants de la Big tech.
Dans cet essai incisif, Juan Sebastián Carbonell montre que le discours sur la « crise du travail » fait obstacle à la compréhension de ses enjeux politiques. Et que sa mise en avant empêche, parfois à dessein, la nécessaire ouverture d’un débat sur les voies de son émancipation. |
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Exemplaires(1)
DFX00761
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DOC 306.36 CAR F |
Livre |
Documentaires
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Disponible |
Titre : |
Révolutions précaires : essai sur l'avenir de l'émancipation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Patrick Cingolani (1954-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : La Découverte |
Année de publication : |
2014 |
Collection : |
L'horizon des possibles |
Importance : |
148 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7071-8192-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Travail précaire Pauvreté Émancipation |
Index. décimale : |
306.36 Comportements économiques. Sociologie économique - Systèmes d'organisation du travail. Sociologie du travail |
Résumé : |
Depuis les années 1980, le mot « précaire » est teinté d'ambivalence. Il désigne en effet à la fois ceux qui subissent les nouveaux modes de fragmentation et de flexibilisation du travail et ceux qui développent des tactiques alternatives de vie et d'emploi. C'est cette double acception que ce livre tente d'analyser. Sans nostalgie à l'égard du salariat, comme institutionnalisation de la subordination, ce livre revendique en effet le potentiel émancipateur cette « révolution précaire » et propose de repenser les luttes et le droit du travail à partir de la contestation des nouvelles formes de domination économique et de leurs puissances démultipliées d'exploitation. |
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Exemplaires(1)
DFX00275
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DOC 306.36 CIN R |
Livre |
Documentaires
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Disponible |
Titre : |
Le travail, une question politique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nicolas Latteur, Auteur ; Matéo Alaluf, Préfacier, etc. |
Editeur : |
Bruxelles : Aden |
Année de publication : |
2013 |
Autre Editeur : |
Liège [Belgique] : CADTM |
Importance : |
138 p. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8059-2053-0 |
Note générale : |
CADTM = Comité pour l'annulation de la dette du Tiers monde. CEPAG = Centre d'éducation populaire André Génot |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Conditions de travail Organisation du travail Travail Dimension politique Capitalisme Démocratie |
Index. décimale : |
306.36 Comportements économiques. Sociologie économique - Systèmes d'organisation du travail. Sociologie du travail |
Résumé : |
Le travail est largement devenu intenable. Les récits des salarié(e)s indiquent une grave dégradation des conditions de travail alors que les emplois – devenus rares – ne constituent plus un rempart contre la précarisation.
À l’heure où le capitalisme est présenté comme une fatalité naturelle, se réapproprier le travail est un enjeu politique et démocratique. Les crises économique, écologique, sociale et politique soulignent plus que jamais la nécessité d’interroger quelles sont les activités utiles, qui en décide, qui les contrôle, quelles formes d’organisation sont mises en œuvre et dans quelles conditions elles s’exercent.
Ces questions engagent tous les membres de la société. Dans une logique démocratique, elles doivent être soumises à des délibérations collectives. Or, actuellement, ces problématiques sont privatisées. Ce sont principalement les acteurs dominants du marché capitaliste qui définissent le travail nécessaire à la valorisation de leurs capitaux.
Ce texte propose de remettre le travail au cœur des rapports de forces. Il analyse les fondements de l’organisation du travail sous le mode de production capitaliste. Il décortique ensuite leurs caractéristiques et identifient les dispositifs qui permettent un exercice du pouvoir despotique tant sur le travail que ses conditions et son organisation. Cette perspective sert de base à construire un positionnement critique qui vise à redéfinir les conditions d’un contre-pouvoir ayant pour projet la transformation politique et l’émancipation sociale. |
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Exemplaires(1)
DFX00569
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DOC 306.36 LAT T |
Livre |
Documentaires
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Disponible |