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848.03 : Litterature française -- Journaux intimes, souvenirs, mémoires 848 Littérature française et littérature des autres langues romanes - Écrits divers
848.08 Littérature françaises et littérature des autres langues romanes -- Œuvres en prose |
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Notre Soleil / Fran Kourouma
Titre : Notre Soleil : par les côtes du Maghreb. Récit Type de document : texte imprimé Auteurs : Fran Kourouma, Auteur ; Sandra Raco, Auteur Editeur : Bruxelles : Éditions Samsa Année de publication : 2020 Importance : 187 p Présentation : ill. photos noir et blanc Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87593-288-4 Langues : Français (fre) Tags : Récit de vie Sans-chez-soi Migrants Demandeur d'asile Sans-papiers Centre d'accueil Témoignage Bruxelles (Belgique) Index. décimale : 848.03 Litterature française -- Journaux intimes, souvenirs, mémoires Résumé : Où va le monde d’aujourd’hui ? Sur la terre africaine, des frères de sang, aux ancêtres communs, frères du même continent, s’entre-tuent pour les plus viles raisons. « L’argent au-dessus de tout », « La loi du plus fort ».
Au cours de mes insomnies au centre (…), j’ai pris goût à écrire mon vécu lors de cette traversée épineuse pour échapper aux pensées lointaines de mon pays natal et me distraire du stress permanent de ma demande d’asile. J’écrivais tout sur mon téléphone portable que je considérais comme un fidèle compagnon de voyage.
J’ai continué lorsque, sans-abri, je vivais dans les rues de Bruxelles. Au début, c’était juste un moyen d’échapper aux soucis quotidiens mais, un jour, je me suis retrouvé avec plus de 800 pages sur ce téléphone ! N’ayant aucun accès à un ordinateur, j’ai retravaillé le texte, en rêvant qu’il serait publié un jour. Le voici.
Pour la majorité des personnes qui nous croisent, nous, les migrants, nous sommes sans valeur, sans importance. Nous n’avons accès à rien, toutes les portes se ferment devant nous…
La vie en Europe, sans papiers, sans parents, dans les affres de la « procédure de Dublin », c’est côtoyer, jour après jour, le stress et le chagrin comme seuls compagnons de misère.
Le plus insensé est que, dans certains médias, des personnes soutiennent que ce périple se fait sans inquiétude : « Ils prennent des bateaux pour traverser tranquillement la mer et viennent encombrer nos pays ». Toutes ces raisons ont renforcé ma détermination à aller jusqu’au bout de mon récit.
Je veux raconter le déroulement de ce scénario pour que le monde d’aujourd’hui et de demain sache ce qui s’est passé au cours de cette traversée…
Je ne suis qu’un jeune homme de 24 ans, qui raconte ce à quoi il a survécu dans un monde ténébreux. Et comme dit ma mère :
« Seules les deux personnes à avoir quitté tard leur champ, connaissent la cachette de leur Daba ».
Je quitte Conakry pour la Guinée Forestière au mois de mai...Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00525 FIC B 848.03 FRA N Livre Fictions Disponible Les abonnés qui ont emprunté ce document ont également emprunté :
La société qui vient
Titre : Pays dans un pays : marcheuses et marcheurs des Temps Présents Type de document : texte imprimé Auteurs : Acteurs des Temps Présents, Collectivité éditrice Editeur : Bruxelles : Maelström Reevolution Année de publication : 2017 Importance : 105 p. Présentation : ill. Format : 16 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87505-288-9 Langues : Français (fre) Tags : Poésie Pauvreté Lutte Belgique Index. décimale : 848.03 Litterature française -- Journaux intimes, souvenirs, mémoires Résumé : Faire pays dans un pays. Reconquérir un territoire politique au rythme lent de la marche.
Porter des regards sur des situations qui disent les tensions du présent et du futur. Susciter les rencontres, les questions, les débats.
Le 20 mai 2017, à l’initiative des Acteurs des temps présents, deux marches se sont élancées, l’une de Liège, l’autre de Tournai, pour aboutir à Bruxelles. La première, la « marche des communs », partait à la découverte de situations où les intérêts de quelques-uns mettent en péril le bien commun. Avec la seconde, la volonté était de repérer des lieux où se marquent la précarisation, l’appauvrissement que subit la région, afin d’envisager les réparations possibles – d’où son nom de « marche des réparations ».
Pour les marcheuses et marcheurs, il s’agissait, dans la foulée, d’élaborer collectivement une narration politique d’un type inédit, en proposant une autre manière de voir et de raconter le pays qui se dessinait sous leurs yeux. Ce livre entend garder trace de ce mouvement et en prolonger l’élan.En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782875052889/unimarc_utf-8 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00311 FIC B 848.03 ACT P Livre Fictions Disponible Portraits de la rue et du préau / Valérian Dirken
Titre : Portraits de la rue et du préau Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérian Dirken, Auteur ; Karim Abraheem, Photographe Editeur : Atramenta Année de publication : 2019 Collection : Fiction Importance : 134 p. Présentation : ill. (photos) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-952-340-471-7 Langues : Français (fre) Tags : Témoignage Récit de vie Prison Sans-chez-soi Détenus Belgique Index. décimale : 848.03 Litterature française -- Journaux intimes, souvenirs, mémoires Résumé : "28 portraits de personnages qui font le dur apprentissage de la rue. Décider où dormir la nuit prochaine : au métro ou au samu ? Faire ou non la file, que certains trouvent humiliante, pour le repas de midi au restaurant du cœur ? Ces personnages sont sans domicile fixe. Ils circulent dans les grandes villes entre tous ces lieux qui font réseau pour eux.
Des portraits également de détenus en prison, avec leurs parcours, leurs attentes et le sens qu’ils donnent à leur peine et à leur vie. Une grève, inhumaine du point de vue des détenus, sans service minimum. Des allers-retours rue-psychiatrie-prison. Oui, il y a des passerelles puissantes.
Ces portraits cherchent à comprendre le parcours suivi et le choix subjectif de certains. L’arrivée à la rue est-elle une issue malheureuse ? Oui sans doute en général, mais acceptons l’hypothèse que cela peut être une étape de transition sur un chemin de vie, ou encore un objectif inconscient. La prison de son côté est une peine infligée. Oui, mais peut-elle être un point d’apaisement dans le tumulte intérieur, un lieu où déposer les armes ? Ou alors un lieu où enfin on mange à sa faim et où on loge aux frais de la princesse ?"Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00405 FIC B 848.03 DIR P Livre Fictions Disponible Les abonnés qui ont emprunté ce document ont également emprunté :
La société qui vient Le quai de Ouistreham / Florence Aubenas
Titre : Le quai de Ouistreham Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Aubenas (1961-....), Auteur Editeur : Paris : Éditions de l'Olivier Année de publication : 2010 Importance : 269 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87929-677-7 Langues : Français (fre) Tags : Récit de vie Enquête Revenu minimum d'insertion Travailleurs pauvres France Index. décimale : 848.03 Litterature française -- Journaux intimes, souvenirs, mémoires Résumé : Comment vit-on en France, aujourd'hui, quand on a un revenu inférieur au Smic ? voire pas de revenu du tout ? Pour le savoir, Florence Aubenas quitte temporairement sa famille, ses amis et son emploi de grand reporter au Nouvel Observateur pour vivre pendant six mois dans la France de tout en bas. Embauchée d'abord comme femme de ménage dans une ville de province, cumulant les contrats précaires, elle plonge dans un autre monde. Un monde où le travail est rare et les nuits brèves, l'exploitation maximale et la solidarité active. Où les lieux de rencontre sont le Pôle emploi et l'hypermarché local. Entre colère et résignation, chacun lutte pour sa survie. Document exceptionnel sur des Français invisibles, ce livre est aussi une extraordinaire galerie de portraits, un récit où la condition humaine se dévoile dans toute sa nudité. Comme le classique Dans la dèche à Paris et à Londres (George Orwell), Le quai de Ouistreham devrait faire date dans l'histoire du journalisme.
« La crise. On ne parlait que de ça, mais sans savoir réellement qu’en dire, ni comment en prendre la mesure. Tout donnait l’impression d’un monde en train de s’écrouler. Et pourtant, autour de nous, les choses semblaient toujours à leur place. J’ai décidé de partir dans une ville française où je n’ai aucune attache, pour chercher anonymement du travail… J’ai loué une chambre meublée.
Je ne suis revenue chez moi que deux fois, en coup de vent : j’avais trop à faire là-bas. J’ai conservé mon identité, mon nom, mes papiers, et je me suis inscrite au chômage avec un baccalauréat pour seul bagage. Je suis devenue blonde. Je n’ai plus quitté mes lunettes. Je n’ai touché aucune allocation. Il était convenu que je m’arrêterais le jour où ma recherche aboutirait, c’est-à-dire celui où je décrocherais un CDI. Ce livre raconte ma quête, qui a duré presque six mois, de février à juillet 2009.
J’ai gardé ma chambre meublée. J’y suis retournée cet hiver écrire ce livre. » Florence AubenasExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00570 FIC B 848.03 AUB Q Livre Documentaires Disponible La rue était mon lit / Michel Baldy
Titre : La rue était mon lit Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Baldy (1969-....), Auteur ; Frédéric Veille (1965-....), Auteur ; Sarah Frikh (1979-....), Collaborateur Editeur : Saint-Victor-d'Épine : City Année de publication : 2014 Collection : Témoignage Importance : 234 p. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8246-0419-0 Note générale : La couv. porte en plus : "le retour à la vie de l'ancien SDF des Champs-Élysées" Langues : Français (fre) Tags : Récit de vie Témoignage Immenses Sans-chez-soi Mendicité Paris (France) Index. décimale : 848.03 Litterature française -- Journaux intimes, souvenirs, mémoires Résumé : Il suffit d’un accident de parcours pour qu’un homme devienne SDF.
C’est ce qui s’est passé pour Michel Baldy qui, après une rupture définitive avec sa femme décide de rompre les amarres. Il part avec son sac à dos.
Il y rencontre Paris, la solitude, l’errance, la recherche d’un abri, le froid, la peur et la faim.
Michel n’a pas tout perdu, il lui reste ses deux chiennes qui l’accompagnent et lui donnent l’envie de se battre. Ceux et celles qui jugent, du haut de leurs certitudes, ces femmes et ces hommes tombés « si bas » devraient réfléchir et chercher à comprendre comment un être humain peut se retrouver du jour au lendemain dans la rue.
L’acteur de ce livre, co-auteur, montre comment est cette vie, rude, difficile, injuste qui mène souvent, trop souvent à une mort prématurée.
Le SDF est seul ou presque car il doit affronter le danger, les regards hostiles, la violence des jaloux qui n’ayant rien sont prêts à arracher le petit rien du voisin de galère.
Parfois il rencontre une bonne âme et souvent il montre et il démontre l’humanité et l’utilité sociale de ces êtres humains. Chaque homme, chaque femme est unique et irremplaçable.
Michel se rappelle avec émotion, maintenant qu’il s’en est sorti, des prénoms de ces soleils, car ils existent, qui lui ont réchauffer le cœur. Il possédait, il possède une force exceptionnelle qui explique pourquoi il finit par trouver une nouvelle voie, moins noire :
« La manche, le froid, le sentiment de ne plus être vivant, l’alcool, la rue vous annihilent de tout. Mais jamais, jamais je n’ai perdu espoir, jamais je n’ai succombé à la tentation de tomber définitivement, de ne plus espérer. Ce fut le cas de tous mes compagnons d’infortune qui ont disparu ou qui disparaissent peu à peu. Chacun le sait, et pas besoin de vous expliquer qu’on ne vit pas vieux dans la rue. »Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité DFX00511 FIC B 848.03 BAL R Livre Documentaires Disponible S'en fout la mort / Xavier Emmanuelli
PermalinkVisages humains / Interpôle
PermalinkVoix et Visages, Femmes d'Europe / Carmelina Carracillo
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